… n’est pas de ce monde. On le sait. Du moins, moi, je le sais. Cela dit, personne ne peut me blâmer de vouloir tendre vers cet idéal, puisqu’en théorie*, c’est le propre de l’être humain de chercher à s’élever, s’améliorer… et dans toute quête, il y a les moments d’abattement, ceux où on a envie de baisser les bras, sans le faire, ou parfois si, justement, en le faisant.
*Un jour, je déménagerai en Théorie, parce qu’en Théorie, tout se passe bien.
Baisser les bras n’est pas forcément signe de lâcheté. Parfois, c’est un constat d’échec face à l’objectif démesuré de la quête. On réajuste le tir, et on repart. D’autre fois, baisser les bras est aussi encouragé par la société, qui a tendance à stigmatiser collectivement les extrêmes. Viser trop haut c’est mal, ne rien viser c’est pas mieux, il faut viser entre les deux. D’abord, qu’est-ce que c’est, “entre les deux”?
(Fin du préambule philosophique, début du propos concret.)(Des fois que…)