Furtilité. Comme dans: mon chat n’est ni subtile, ni furtif. “Mon Chat, tu manques de furtilité.”
Étiquette : chat
“Vive GrôChâ, vive GrôChâ, vive GrôChâ d’hiver…”
Je suis tordue de rire: la Gamine découvre les classiques de Noël et les adapte à sa sauce…
C’est quand tu marches sur la queue de ton chat et que tu t’excuses gros comme le bras que tu réalises “bordel je parle pas chat”… #meow
Je range après la tornade infantile festive. J’entends un timide “miaou ?”… “Oui mon chat, c’est bon elles sont parties. Tu peux sortir…” RON RON RON RON RON RON MIAOU !! “Oui mon chat, je te comprends. Moi aussi j’aimerais pouvoir crapahuter sous le buffet pour me sauver…”
Après une lutte acharnée, un combat sans merci, au cours duquel mon chat a souvent cru être vaincu… il a réussi à tabasser la mouche qui l’enquiquinait. La tape, la laisse pour morte, vient miauler à mes pieds et va se coucher: “Là, j’ai fait mon devoir. Maintenant, laisse-moi me reposer. Et ferme cette fenêtre.”
J’ai d’abord cru que la soif de mon sapin de Noël naturel était insatiable. En fait, j’ai découvert la vérité: c’est mon chat qui boit l’eau du sapin, chaque fois que je remplis le pot. Et son bol à lui demeure intact.
Si vous êtes sages, vous aurez bientôt droit à quelques photos du Festival d’Eté de Québec. Jusqu’à maintenant, j’ai eu Pierre Lapointe, Scorpions, Loïc Lantoine, Thomas Hellman, Yann Tiersen, Karkwa, Trevor Hall, Malajube, Susie Arioli, Louise Attaque. J’y ajouterai Hawthorne Heights, Yellowcard, Jesse Cook, Mobile, Blue October, Live, California Guitar Trio, Fred Pellerin, Reel Big Fish, Jean-Pierre Ferland, Bet.e et Carlos.
(Précision: la mozzarella dont je parle ici n’a rien à voir avec ce fromage élastique employé au Québec (et probablement dans le reste de l’Amérique) pour les pizzas et les gratins au fromage. Je parle du petit morceau de fromage frais, gros comme une petite pomme de terre, marinant dans un petit jus lactesque, dans un emballage de plastique souple.)
Toi, petite (moyenne) machine poilue à calins, ronrons et miaulements dont j’ai la garde pour les 10 prochains jours, merci.
Merci de me rappeler le bonheur que c’est d’avoir une bestiole comme toi à mes côtés.
Merci de m’avoir réveillée en me léchouillant l’oreille, merci d’avoir lacéré mon ventre de contentement quand je te grattais le cou.
Merci d’avoir miaulé pour me signaler que je n’étais pas seule dans cette grande maison (et accessoirement que tu avais faim).
Merci de t’être frotté sur mes jambes pour me signifier ta gratitude quand a retenti le son cristallin des croquettes tombant en cascade dans la gamelle.
Merci de m’avoir surprise en ouvrant la porte de la salle de bains alors que je marinais dans un mélange aquatique moussu et aromatisé poire et fraise.
Merci de m’avoir accompagnée de ton ronron partout où j’allais.
Miaou.