Comme toutes bonnes vacances dignes de ce nom, elles commencent par des bris, des sprints, des oublis, de la panique… bref, courir pour mieux relaxer, c’est notre dicton!
Vendredi le 12 août, après avoir épuisé mes ressources tentaculaires (pour faire le ménage en même temps que les bagages et le remplacement d’une pièce sur la pompe submersible de la maison) je suis allée récupérer Gabrielle-la-nouvellement-ado de Sophie à son camp anglophone. J’avoue qu’au moment où j’ai assis mes fesses dans ma voiture, j’ai commencé à relaxer: tout était prêt, fini, préparé, rendu, livré, ramassé, planifié, calculé… il ne restait qu’à parcourir les kilomètres et voir défiler le paysage et les heures.
Après avoir récupéré l’ado-qui-est-encore-un-peu-enfant-heureusement, nous voilà parties pour la gare de Drummondville, où nous attendrons l’Homme. Cette attente me coûtera l’écran de mon téléphone, qui n’a pas survécu à sa rencontre avec un stationnement asphalté. Tout ça pour des Pokémons! Ça fera partie de la chose à régler dès la première heure au retour des vacances… (Je peux encore envoyer des commandes vocales, répondre à des appels, prendre des photos et voir mes notifications. L’écran tactile est mort mais tout le reste fonctionne nickel.)
Le reste du périple se fait sans problème jusque chez Sophie, où nous arrivons alors qu’elle emballe les derniers cadeaux pour son ado, qui fêtera ses 13 ans le lendemain. À retenir comme trame sonore de la journée: le Mouton Méprisant. La suite… demain!
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