Puisque nous sommes des parents indignes, nous amenons la progéniture en kayak pour lui apprendre la vraie vie. La vraie vie, c’est le plein air, la nature, les ouézeaux (grand héron, grande aigrette, colvert, bernache, butor (entendu, pas vu)), les chevreuils, les tortues des bois… les zouaves qui ne ralentissent pas du haut de leur chaloupe-fortement-cylindrée, les abrutis qui transforment leur ponton en dancefloor à 20 mètres d’une réserve faunique, et une trop grande quantité à mon goût (et odorat) de poissons morts en bordure des berges. Aucun commentaire à propos du fait que la progéniture se fait tirer par moi en démontrant un réel signe d’appréciation ne sera accepté.