Le silence exprime mieux que quoi que ce soit mon état actuel: mon neurone végète à plein régime, et mon QI est devenu digne de celui d’une fougère. Je ne marche plus, je me traîne les pieds partout où je vais. Je ne cligne plus des yeux, je laisse lourdement tomber mes paupières pour ensuite fournir des efforts surhumains pour les relever pour voir ce que j’écris. Mal partout. Fatiguée. Envie de voir quelqu’un (il est précis pour une fois, ce “quelqu’un”). *soupir*
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