Le mal est-il une illusion créée par l’absence du bien ?
Ou existe-t-il une phase intermédiaire ?
Le mal est-il quantifiable ? J’ai l’impression que oui. Mais dans quelle mesure ? Question redondante.
Mal ou douleur ?
Egïstement, le mal peut-il exister sans la douleur ?
On sait que la douleur n’est pas forcément générée par le mal, mais qu’en est-il du mal lui-même ?
J’ai toujours cru que la neutralité et l’objectivité étaient comme la perfection: pas de ce monde.
Difficile de prouver l’existence de quelque chose de non-quantifiable.
Le mal est-il le seul moteur de la pensée ? De la réflexion ? Se pose-t-on REELLEMENT des questions lorsque l’on est bien et que l’on n’aurait aucune raison de s’en poser ?
On sait que la mort n’est pas une fin en soi, mais qu’est-ce qui peut l’être ? Si on est arrivé à relativiserla mort, il n’y a plus rien à notre épreuve…
Retour à interrogation: le mal est comme le vide: impalpable. Mais quantifiable ?
Vilain rêve la nuit dernière:
J’avais un enfant, et je n’en voulais pas. Il avait à peine quelques heures, quelques jours, et je le fuyais, je paniquais, je me cachais partout où je pouvais.
Il n’y avait pas de père.
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