Je me sens si fragile… Et si fatiguée de cet état constant de sensation d’écorchée vive.
Prisonnière de la tourmente que je me bâtis moi-même.
Ne peux plus écrire, trop de fatigue.
Entrevue demain… laissez-moi dans ma bulle, tranquille, pitié.
Laissez-moi me vautrer dans mon malheur, me gaver de tristesse, me noyer dans le néant.
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