L'eau courante

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Étiquette : études

L’art de crotte.

Oué, ça aura été facile perdre mon pari. Suffisait que j’entende pas mon réveil (je mettrais ma main au feu qu’il a pas sonné, le sale)(c’est un complot pour me priver de resto, chuis persuadée) et donc que je me lève en retard. Du coup, manqué Platon aussi. Pas vraiment envie d’aller me farcir la 2ème moitié du cours non plus. Darnziak, tu voudras bien me prêter tes notes –et tes dessins, par la même occase— ? Grmbl.

smiley hmmsmile

L’art de l’oubli.

Oubli qui me fait bien plaisir, d’ailleurs. Mon prof de philologie a omis de transmettre sa feuille derecommandations au directeur de programme, du coup, pas d’interro aujourd’hui. Gniark. Sinon, ça m’agace unpeu, ce manque de communication entre les gens responsables du programme… On est si peu, ça devrait êtrefacile pourtant ! M’enfin.

Dans un tout autre ordre d’idées, j’ai faim. Et je suis coincée à la fac. Donc, pas niam niam à moins de payer lapeau du c*l. Grmbl. Allez, hop, c’est l’heure d’aller entendre parler de révolution hoplitiqueYoupi.smiley huh

L’art de l’épuisement.

Pouah ! J’avais perdu l’habitude des cours magistraux, moiOulà, c’est quelque chose. Intéressant, certes, mais ô combien exigeant ! Entre deux portions de ce cours, je souffle et je viens poster. Oui, je suis encore à la fac, et j’y resterai encore un peu après, puisque la ronde des photocopies commence. Joie, bonheur et félicité. Quelqu’un aurait un exemplaire de Paix et guerre entre les nations de Aaron ? Ou alors n’importe quel volume qui se rattache un tant soit peu au contexte belliciste et pacifique en Grèce ancienne… (Période Mycénienne jusqu’à Hellénistique, -1200 à -300.) Ah, et aussi un commentaire de texte sur Les travaux et les jours d’Hésiode, portant sur les races de guerriers mythologiques, je suis preneuse pour ça aussiAllez, c’est reparti… Hop !smiley mortbleu

Mmmmh ?

Quelqu’un a parlé ? Rien entendu. Ai les oreilles bouchées, par mes écouteurs, par ma musique, par ma propre volonté. Gniark. (Pour les intéressés, à propos du ménage d’hier, ça a dégénéré un petit peu –beaucoup ?– mais j’ai remporté le match avec un argument béton –hors contexte ici–, joie intense.)

Sinon, j’ai plein de nouvelles pas intéressantes ce matin, la fac fait déjà effet sur moi. Alors en vrac: je suis moins –presque pas– courbaturée que j’imaginais l’être, suite à mon badminton et à ma piscine, ce qui est rassurant et même encourageant. Ensuite, ben, ça ne me coûtera pas cher pour mes livres cette année, mais je vais défoncer allègrement mon budget de photocopies parce que dans 2 de mes cours, les profs –ô intelligence– ont décidé de ne pas nous faire acheter de livres obligatoires, mais bien de nous faire sprinter en permanence à la réserve de la bibliothèque pour nous faire photocophier des chapitres interminables dans une farandole de livres joyeusement pas disponibles puisque 3 exemplaires pour 120 étudiants. Clap clap clap. Faudra bien évidemment que j’y aille à des heures indues (genre 10h00 du soir, heure à laquelle j’aime bien me préparer à dormir –quand il y a école–) et que je m’arme d’une patience inébranlable pour trouver tous lesdits bouquins. Ah, y’a aussi que je me suis mise au café dès le début de la session, moi qui n’en buvais pratiquement pas avant. Mais bon, faut ski faut.smiley lire_journal

Oulà…

Le mal de bloc bétonné que j’ai. Ça ne me va vraiment pas de ne pas manger pendant 6 heures et de devoir rester éveillée. Enfin. Première journée terminée. Je jure d’aller au lit tôt. Je jure de brosser mes dents. Quelqu’un veut venir me border et me raconter une histoire?
(Ce post est présenté par mon manque de sommeil, de vitamines et de calins.)smiley puppy_dog_eyes

Grmbl.

J’adore la rentrée. Tout y est: difficulté à m’endormir hier soir –ou plutôt ce matin, il devait être 1h30 du mat–, réveil plus que hâtif il était 5h30, et j’ai évidemment les yeux grands ouverts–, papillons au ventre –depuis environ 12 heures c’est dérangeant, depuis 6 heures c’est intenable–, mal de coeur –pourquoi ??–, douleur au bas du dos –mon baromètre intégré me signale habilement le temps humide (surprise ?)–, et enfin, mauvaise digestion –sans changement d’habitude alimentaire, preuve des noeuds qui ont établi campement dans tout mon système digestif. Ça, c’était pour le côté physique. J’épargne le côté psychologique, j’ai pas envie d’accentuer la vague d’idées noires chez mes lecteurs.smiley nuagepluie

*soupiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir*

J’ai rarement été pas motivée à faire quelque chose à ce point. J’ai rarement eu envie à ce point de me trouver une maladie incurable, un parent lointain décédé, une convocation en cour, de la visite à m’occuper, une danse à apprendre, bref, n’importe quoi qui me donnera l’occasion de reculer l’échéance fatale de demain. Et , j’ai pas envie de dire Grmbl et tout le reste. J’ai envie de pleurer. Comme une gamine de 6 ans qui s’accroche au cadre de porte pendant que ses parents la tirent vers le bus scolaire. La scène classique. En plus, il pleut toujours. Sauf que j’ai 21 ans, je m’accroche à mes rêves, et rien ne me tire vers le bus de la ville, j’y vais à reculons. Et il pleuvra, comme il a plu l’an dernier, comme il a plu à chaque année. J’ai pas souvenir d’une rentrée ensoleillée.

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