Autant pour Venise que pour Athènes, je ne croyais pas que l’achat d’une excursion guidée soit pertinent. L’expérience m’a appris que les tours sont la pire manière de se stresser, de pousser pour tout voir et de ne pas arriver à profiter du peu qu’on a. (La sortie de Salalah (Oman) me donnera encore raison.) On a donc choisi l’autonomie totale, et au final, on a peut-être vu moins de choses (lieux, attractions, endroits, détails) que les groupes guidés, mais on a pu le faire à notre rythme, sans stress… et ça, pour moi, ça vaut tous les tours guidés du monde!
Quant à l’obstacle linguistique, en Grèce, ça ne m’inquiétait pas vraiment (pas plus qu’en Italie). Étant dans un secteur ultra touristique, l’anglais sommaire fait partie des connaissances des gens, et en plus, puisque je sais lire et me repérer, la plupart des situations problématiques allaient être faciles à résoudre, en cas de besoin. Bonus: tous les toponymes endroits importants, ainsi que les noms de rues et les stations de métro sont transcrits en alphabet latin, ce qui fait qu’on peut se repérer « au son ».
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