Dans la catégorie des derniers achats compulsifs de l’Homme (auquel j’ai participé), des vélos de montagne. J’ai re-eu la piqure à Bromont au début du mois de juin, et Marc-Antoine a prêté son vélo à Christophe pour un plan de nègre fin juillet… conclusion: ça nous prend des vélos de montagne. On s’est donc équipés d’un Giant Talon 2016 (Christophe) et d’un Trek Marlin 7 2015 (moi). Il fallait donc penser à inaugurer les nouvelles bêtes, ce que nous avons fait par un beau samedi au Mont-Sainte-Anne.
Alors qu’on se préparait dans le stationnement à moitié plein, j’apprends que nous sommes la veille d’une course… je m’attendais à tomber sur une montagne remplie à craquer avec plein d’attente partout et à me faire pousser/dépasser dans tous les sentiers. J’ai été très contente de constater que l’achalandage était bien réparti. Faut dire, on ne s’est pas lancé dans les sentiers de DH… on a pris des trucs bleus et verts, c’était bien assez pour le début!
Après avoir cherché le départ au sommet de la montagne, nous voilà lancés. J’ai heureusement pris une carte et observé les sentiers pour me faire une idée des directions à prendre… voici donc le tracé que nous avons emprunté, enregistré par ma montre GPS. Évidemment, en bons paresseux que nous sommes, nous avons emprunté la télécabine pour gagner un peu de temps…
J’ai découvert le plaisir des “pump tracks”: des petits sentiers avec du relief, qui rappellent le “terrain based learning”: des rouleaux, des virages inclinés, une faible pente, tout pour s’aider à prendre de la vitesse en utilisant le terrain et la gravité. Bon, c’est crevant, on sort de là à bout de souffle mais on a envie d’y retourner directement après… Le reste, en photos!
Pat
Ah, le vélo et la boue! Quel parfum!