Oui, je suis encore vivante, mais vraiment dans une fin de session abrutissante qui me tient loin de toute activité non-académique à un point que même un rat de bibliothèque ne pourrait imaginer. J’en suis à la rédaction finale d’un méga TP sur l’érosion côtière au Canada, et j’ai 5 examens de fin de session à préparer pour la semaine prochaine -le dernier est vraiment la cerise sur le gâteau, Géomorphologie, le 19 décembre.
Evidemment, tout ce contexte studieux demande nécessite exige (sous peine de poing dans la gueule) un environnement de travail dépourvu de toute forme de distraction. Comprendre: pas de musique autre que la mienne, pas de morveux qui me pioche sur la tête, pas de coloc qui fait des percus sur les casseroles, et _surtout pas_ de travaux dans ma rue.
Or, j’ignore ce qu’ils fabriquent dans ce quartier résidentiel qui est le mien, mais depuis ce matin, j’entends 2 bûcherons pas frileux qui m’interprètent un Concerto pour chain saw en Scie bémol majeur… même pas foutus de les accorder sur le LA 440 Hz ! Mes oreilles crient à la dissonance plus que désagréable.
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