Mardi avant-dernier (ben quoi, le mardi avant le dernier qu’on vient de passer, là, bref, le 5 avril), je suis allée visiter l’exposition Dieu, le tsar et la révolution au Musée de la civilisation à Québec.

Ma visite avait un double intérêt: d’abord, la joie de voir l’exposition avant le commun des mortels -cette soirée était en fait le vernissage de l’exposition, champagne et autocongratulations à l’honneur. (Dieu merci je n’écris pas dans Word, bonjour la faute qu’il m’aurait mis pour “autocongratulation”.) Donc, après la joie de voir l’expo en primeur, je devais quand même travailler: je visitais l’expo afin de rédiger un texte en collaboration avec Lysis, pour le journal étudiant de l’Université. Autre avantage non-négligeable: la permission de faire des photos…

Je ne vous parlerai pas en longueur de l’exposition, elle est très jolie, plutôt complète pour les néophytes, bien que les visiteurs avertis puissent reprocher aux thèmes d’être trop centrés sur les grandes villes, ce qui peut faire oublier au néophyte que la Russie, c’est autre chose que Moscou et Saint-Petersbourg.

Deux jours après la visite, on s’installe au journal, Lysis et moi, et on rédactionne le petit feuillet. (Et c’est là que ça devient intéressant pour vous, chers lecteurs.)

La semaine dernière, j’ai atteint un niveau de fatigue peu commun, suite à une série d’heures passées à faire autre chose que dormir. Vous pouvez donc imaginer l’état de mon cerveau, et la hauteur de mes blagues.

Tout en rédigeant le texte et en cherchant les formules appropriées, je me mets à rigoler en pensant que…

Au 19ème siècle, la haute, la jet set russe (ou la troïka set), les aristocrates et les bourgeois… ils faisaient partie du tsar system…