Mes oreilles sont toujours en fonction: j’entends toujours quelque chose, mais je n’écoute pas toujours… Là où c’est intéressant, c’est que mon subconscient réussit à capter l’essentiel, peu importe où je me trouve. C’est comme ça que j’entends des énormités, et que je les retiens… pour les publier ici. Ca deviendra probablement une chronique comme les JJMN, que je présenterai le lundi, parce que c’est comme ça, je suis chez moi, je fais ce que je veux, je garde mes chaussures si ça me chante, c’est moi qui passe le balai.
On commence en force avec une énormité que j’ai entendue en classe, pendant la pause: deux magnifiques spécimens d’aborigènes de sexe féminin, barriolées de peintures criardes et entourées d’une aura de parfum bon marché, discutaient naïvement de leur avenir, aussi hypothétique que la venue de Juppé à Montréal:
– moi j’voudrais ben faire le profil international, mais je sais trop pas si j’aurais, genre, les notes pour ça
– bah, tsé, y checkent pas ben ben ça, les notes, en comm… (trop vrai, malheureusement)
– ché ben, mais tsé, imagine que j’veux aller à l’université, genre, Paris X…
– ah ? c’est yoù, ça, Paridiss ?
Dans mon cours d’Histoire des médias du Québec.
Pour ceux qui ont besoin d’une traduction, euh… Non j’ose pas. Amusez-vous dans les commentaires…
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