Beau soleil dehors, je suis d’une bonne humeur relative –compte tenu du fait que mon genou droit a rencontré un coin de porte pas fermée (la porte, hein, pas le coin) d’une façon aussi délicate que volontaire–, j’écoute les capsules de Pérusse, je sirote un bon café –jamais j’aurais pensé dire ça un jour, “bon café“– et je pense à lui, qui est en train de se faire charcuter le cerveau. Ça, ça me fait moins plaisir un peu. Mais bon. Chacun son tour… Enfin. Je peux dire que je rêve à la Toussaint ? Si ? Merci. Alors je rêve à la Toussaint. Wala. Je rêve aussi à d’autres choses, mais ça c’est du domaine “alter ego” alors si ça vous embête pas, je ferai pas de confiture avec ça ici. Na. Et oui, je fais de la diffusion d’informations sélective. Ça pose un problème ? Vous savez est la porte. (Oui, celle de tout à l’heure, pas encore fermée.) (Ahlala que j’ai de la suite dans les idées –ou de la fuite ?–) (Je vais crier quelque chose. *CRI* Wala.) Une seule personne sait à qui s’est destiné, et ce que j’ai crié. (Et 2-3 autres s’en doutent.)(Les voisins.) (Allez, je vous désillusionne, j’ai dit à mon coloc de fermer la porte.) (Gniark.) (Ah, si, j’aurais pu l’envoyer paître aussi.)smiley rougir