J’ai presque oublié de faire ma critique de film. Alors, K-19: The Widowmaker. D’abord, tu parles d’unetraduction de merde: “K-19: Terreur sous la mer”. Okay, je sais que c’était difficile de traduire “widowmaker“d’une belle façon (littéralement: “le faiseur de veuves“) mais bon, bordel, z’auraient pu prendre un autre titre,parce que là ça sonne franchement “film-bidon-d’attaques-de-requins-sanguinaires-et-anthropophages-ne-rêvant-que-de-déchiqueter-tout-sur-leur-passage-de-préférence-les-touristes-américains-gras-et-dodus“. *note to myself: okay, Akelia, tu te connais, tu sais que t’es bilingue, pourquoi alors t’entêter à aller te taper le film entraduction !?!?!?*
Sinon, il est bon, ce film. Très touchant. L’histoire est fidèle (c’est inspiré d’un vrai évènement historique, pendant la guerre froide, l’action se déroule en 1961) et tous les éléments (politique, géographie, histoire) sont bien respectés. Je n’ai décelé aucune erreur anachronique, aucune coquille.
Harrison Ford offre une performance assez implacable, vraiment. J’aime la façon qu’il a de tenir ce rôle d’homme impassible, voire dur, alors qu’on est habitué de le voir plus souriant, plus craneur –Indiana Jones, Yan Solo– ou encore, plus “freak” –Norman Spencer dans What Lies Beneath–.
Effets spéciaux: rien à redire, ça vaut le coup d’oeil quand le missile d’essai décolle. Ce film a été filmé en partie à Halifax, intéressant. Mais ce qui m’a le plus “étonnée”, c’est une des compagnies qui a co-produit le film: National Geographic Society. Voilà qui me rassure encore plus sur la fidélité historique du film.
Donc, en gros, j’ai rien à dire sur le film, et en petit, traduction du titre merdique. 🙂
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