La façon que j’ai de tenir ce journal ressemble à la façon que quelqu’un emploierait s’il avait envie qu’on publie un jour son “oeuvre”.
Limite, c’est presque ridicule.
50% de moi dit “allons, comme si ce que tu écris allait un jour valoir la peine d’être lu par d’autres gens” et l’autre moitié a la certitude que la réponse est “oui”.
Je dois être schizo.
Et je ne crois pas que les médicaments soient nécessaires à ce stade: c’est sans espoir. Ils le disent tous, je suis irrécupérable, il n’y a plus rien à faire.
Braves gens qui avez perdu votre temps pour lire ces lignes jusqu’ici, je vous sers mes plus plattes excuses: vous ne méritez pas qu’on empoisonne votre cerveau avec les inepties d’une photographe ratée de 23 ans.
Et pourtant… je suis fière de ce que je dis/fais/suis.
FOLLE.
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