Merci à ces tulipes rouges, qui se sont trouvé sur le chemin que mes yeux parcouraient avec fatigue.
Merci à Thomas Fersen, dans mes oreilles, à plein régime.
Merci au soleil qui a daigné se montrer, histoire d’éclairer les toits de cette petite ville, d’une lueur dorée, réconfortante, enveloppante.
Merci à ce gamin qui m’a pris pour sa mère, pendant quelques fractions de secondes, avant de réaliser sa méprise et de se sauver à la course en murmurant un timide et poli “pardon madame”.
Merci au RER, grâce à qui j’ai du sortir des entrailles de la ville pour marcher entre 2 stations de métro.
Merci à ce policier, beau comme un dieu grec, qui a arrêté le traffic juste pour moi, pour que je traverse la rue.
Merci au métro, grâce à qui j’ai dépassé mes limites d’endurance d’état sardinesque.
Merci au métro (bis), grâce à qui j’ai pu prendre place à côté du conducteur de la rame parce que trop de sardines de l’autre côté, même plus moyen d’y monter. (C’est chouette comme expérience, vous essayerez :p)
Merci à mon look MIB qui m’a permis qu’on me foute la paix à la sortie du métro (sondage ou je ne sais trop quoi)
Merci à cette boulangerie d’avoir été sur mon chemin et de m’avoir empli l’appendice nasal de toutes ces bonnes odeurs…
Merci d’avoir modifié mon humeur de façon positive en cette journée qui commençait en claudiquant.
Merci à vous, lecteurs, de me laisser mes illusions et ma naïveté intactes.
Laisser un commentaire