Un autre réveil bétonné et bien réussi: la Toccata et Fugue Dorienne BWV 538 de l’illustre Bach. À écouter à plein régime, à fond les ballons, dans le tapis, dans le plafond, n’importe comment, tant que vous avez l’impression d’être assis sur l’orgue. Laissez-vous… submerger par les sons et les couleurs, envahir par la richesse et la volupté de ce bijou. Ce matin, je serais presque tentée de croire en Dieu.
(À vous procurer de toute urgence, enregistrement sous étiquette Deutsche Grammophon, par Ton Koopman ou Simon Preston, 1999.)(Je mise sur Ton Koopman, mais c’est de mémoire.)(Dur dur d’être séparée des boîtiers de mes CD’s.)(Quand je disais que ce serait un calvaire de choisir pour mon départ… j’avais raison ;)(Ça fait 30 minutes que ça tourne, ce mp3, et j’en suis pas encore rassasiée.)
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